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dimanche 27 avril 2014

Vabioce/WBC/HMS empochera un milliard de FCfa pour le sauvetage archéologique à Lom Pangar

Vabioce/WBC/HMS empochera un milliard de FCfa pour le sauvetage archéologique à Lom PangarLe groupement de consultants constitué par Vabioce, WBC et HMS, vient d’être déclaré adjudicataire du marché pour la «réalisation d’une opération de sauvetage archéologique sur l’emprise globale du chantier de construction du barrage hydro-électrique de Lom Pangar», dans la région de l’Est du Cameroun.
Selon le communiqué rendu public à cet effet par le Directeur général d’Electricity Development Corporation (EDC), Théodore Nsangou, l’enveloppe globale du marché est de 990, 9 millions de francs Cfa. Récemment, EDC, le maître d’ouvrage du projet de construction du barrage de Lom Pangar, a publié un communiqué annonçant la découverte sur le site, de vestiges très rares.

Le barrage de Lom Pangar est le second ouvrage construit au Cameroun, qui intègre une opération de sauvetage archéologique, après le pipeline Tchad-Cameroun. Dans un livre intitulé «De Kome a Kribi : Archéologie préventive le long de l'oleoduc Tchad-Cameroun, 1999-2004», l’équipe d’experts internationaux commise à cette tâche révèle, par exemple, avoir investigué sur une distance de 1070 Km et découvert «un total impressionnant de 472 sites datant du Middle Stone Age à l'Age du Fer, dont de nombreux sites de première importance, ont été découverts dans des régions jusqu'alors quasi inconnues sur le plan archéologique».

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Camtel suspend le téléphone à la télévision nationale pour factures impayées

Camtel suspend le téléphone à la télévision nationale pour factures impayéesDepuis une semaine, la Cameroon Radio and Television (CRTV), la télévision nationale, n’a plus accès au réseau de téléphonie fixe, moins coûteux par rapport au mobile, de la Cameroon Telecommunications (Camtel), l’opérateur historique des télécommunications. Une facture impayée de plusieurs millions de FCfa serait à l’origine de cette interruption de service de téléphonie et Internet. Conséquence de cette situation, les stations régionales de la télévision et radio nationale ont beaucoup de peine à participer aux programmes à caractère national.
Au début de cette crise, certains éléments vidéo et sonores, contributions des stations régionales aux programmes de la télévision et radio nationales, auraient été expédiés à Yaoundé par fret. Puis la CRTV aurait finalement négocié avec un opérateur des télécommunications pour que des lignes téléphoniques soient au moins déjà installées à la direction générale, tout comme dans les stations régionales.
Du côté de Camtel, on explique que la CRTV est insolvable depuis trois mois. Plusieurs moratoires, concernant sa facture, lui ont d’abord été servis pour ne pas perturber son fonctionnement. Mais devant de l’incapacité de la CRTV à régler ses frais de télécommunications, la direction générale de la Camtel aurait décide de procéder à la coupure jusqu’à ce que tout son argent lui soit versé.
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Fermencam veut planter 2000 hectares de fruits pour lancer la production des jus naturels

Cameroun : Fermencam veut planter 2000 hectares de fruits pour lancer la production des jus naturelsSelon Samuel Foyou, le Président du Conseil d’administration (PCA) de la Société camerounaise de fermentations (Fermencam), une distillerie à capitaux camerounais, a introduit auprès des autorités publiques, une demande en vue d’obtenir une concession foncière sur 2000 hectares. «Nous avons déjà obtenus 600 hectares», confie-t-il.
Le PCA de Fermencam indique que ces terres serviront à produire des goyaves, des ananas et des mangues. Ces fruits, explique-t-il, vont permettre à Fermencam, entreprise actuellement essentiellement spécialisée dans la production des spiritueux, de faire une incursion dans la production des jus de fruits naturels, destinés au marché européen, précise M. Foyou.
Cette diversification des activités envisagée par Fermencam devrait permettre à cette entreprise d’augmenter son chiffre d’affaires, qui a culminé à 12 milliards de francs Cfa en 2013, en hausse de 3 milliards de francs Cfa par rapport à 2012, selon le Directeur général, Maurice Djeutchoua. La société revendique un effectif de 800 employés.
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jeudi 24 avril 2014

Cameroun : la BM injectera 50 milliards de FCfa dans le développement de l’agro-industrie entre 2014 et 2019

Cameroun : la BM injectera 50 milliards de FCfa dans le développement de l’agro-industrie entre 2014 et 2019Sur la période 2014-2019, la Banque mondiale (BM) mettra à la disposition de l’Etat camerounais, un montant total de 50 milliards de francs Cfa, en vue de financer l’implémentation du «Projet d'investissements des marchés agricoles (PIDMA)», piloté par le ministère de l’Agriculture, a appris l’Agence Ecofin de sources internes à ce département ministériel.
Selon le Coordonnateur de ce programme, Thomas Ngwé Bissa, ces financements seront essentiellement investis dans les filières maïs, sorgho et manioc, principales matières premières des structures agro-industrielles installées au Cameroun. Il en est ainsi, par exemple, de la Sotramas, une entreprise en gestation dans la ville de Sangmélima, qui ambitionne de transformer en amidon 120 tonnes de manioc chaque jour, mais dont le fonctionnement optimum est hypothéqué par le déficit de production de ce tubercule.
Il en est également ainsi des trois sociétés brassicoles du pays, qui sont obligées d’importer d’importantes quantités de maïs, chaque année, à cause du déficit de production observé depuis des années dans cette filière. Guinness Cameroon, filiale locale du brasseur Diageo, a d’ailleurs été la première entreprise du pays à conclure un partenariat avec le gouvernement camerounais, pour se faire livrer les cargaisons de manioc, sorgho et maïs issues du PIDMA.  Pour rappel, la demande annuelle des entreprises agro-industrielles est officiellement estimée à 200 000 tonnes de maïs, 30 000 tonnes de sorgho et 1,4 million de tonnes de manioc.
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Le Trésor public camerounais a recouvré 673 milliards de FCfa de recettes au premier trimestre 2014

Selon le directeur général du Trésor (DGTC) du ministère des Finances, Sylvester Moh, le Trésor public camerounais a recouvré des recettes cumulées d’un montant total de 673 milliards de francs Cfa, au 31 mars 2014. Cette performance, souligne M. Moh dans une interview au quotidien gouvernemental, est en dépassement de 79 milliards de francs Cfa, par rapport au plan de trésorerie arrêté par le ministère des Finances.
Le Trésor public camerounais a recouvré 673 milliards de FCfa de recettes au premier trimestre 2014
La même source explique que 632 milliards de francs Cfa ont été dépensés sur cette enveloppe des recouvrements, dépenses principalement liées au payement des salaires des fonctionnaires et agents de l’Etat, ainsi que des prestataires des services. Autant d’éléments qui font dire au DGTC que «l’Etat du Cameroun n’est pas en difficulté», contrairement aux informations récemment publiées par certains journaux camerounais, dont l’un avait titré «l’Etat est-il en faillite ?».
Mais l’assurance affichée par M. Moh convaincra difficilement les opérateurs économiques, qui se plaignent d’arriérés de payements de leurs factures par l’Etat depuis plusieurs mois, de même que des milliers de nouvelles recrues de la fonction publique, dont la prise en charge salariale traînent depuis de nombreux mois. Le recours aux émissions de titres publics de court terme par l’Etat camerounais (bons du Trésor), n’est pas non plus pour démentir d’éventuelles tensions dans la trésorerie publique.
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343 milliards de FCfa pour créer 200 000 emplois au Cameroun et atteindre un taux de croissance de 6% en 2014

343 milliards de FCfa pour créer 200 000 emplois au Cameroun et atteindre un taux de croissance de 6% en 2014 Le plan d’urgence examiné lors du dernier conseil de cabinet du gouvernement camerounais (photo), le 21 avril 2014, et qui attend d’être validé par le chef de l’Etat, avant son implémentation, porte sur une enveloppe globale de 343 milliards de francs Cfa, a appris l’agence Ecofin de sources internes au ministère de l’Economie. Ce plan d’urgence, dont l’objectif principal est de permettre au pays d’atteindre un taux de croissance de 6% en 2014, au lieu des 4,8% initialement projetés, prévoit un programme d’investissements prioritaires dans les infrastructures, apprend-on, pour un montant total de 26 milliards de francs Cfa.
De même, il y est stipulé que, sur la base des 98 000 entreprises recensées au Cameroun par l’Institut national de la statistique (INS), le gouvernement impulsera la création de deux emplois par entreprise, en contrepartie d’incitations fisclao-douanières, de manière à créer au moins 200 000 nouveaux emplois cette année.
Mais, l’épine dorsale de ce plan d’urgence, indiquent nos sources, est l’accroissement des investissements dans le secteur agricole, qui emploie 70% de la population active du pays. En effet, apprend-on, le nouveau plan d’urgence gouvernementale préconise l’accroissement de la production du riz (actuellement de 100 000 tonnes), qui est certainement la denrée la plus consommée dans le pays, mais dont les importations visant à combler un déficit de 200 000 tonnes sont estimées à environ 120 milliards de francs Cfa chaque année. Il est également question de booster la production halieutique, mais aussi celles du maïs et du soja, deux filières dont le développement sera assuré par «le Projet d'investissements des marchés agricoles (PIDMA)», que vient de financer la Banque mondiale à hauteur de 50 milliards de francs Cfa.
Le gouvernement espère aussi un accroissement de la production nationale du ciment, dont la demande nationale est projetée à 8 millions de tonnes annuelles, avec les grands projets en cours. Cet espoir repose certainement sur la mise en service annoncée depuis mars 2014, de Dangote Cement, l’usine du milliardaire nigérian qui devrait ajouter 500 000 tonnes de ce produit sur le marché, en plus des 1,2 million de tonnes de Cimencam, filiale locale de Lafarge, et des 500 000 tonnes du Marocain Cimaf, dont l’usine de Douala est entrée en production en février dernier.
Selon nos sources, ce plan d’urgence du gouvernement sera financé sur le budget de l’Etat, pour le compte de l’exercice 2014, notamment par le biais de l’accélération de «la mise en vigueur des accords de financement, pour une utilisation plus conséquente des ressources issues de la coopération bilatérale et multilatérale». Au demeurant, apprend-on, des financements additionnels de l’ordre de 260 milliards de francs Cfa devraient être identifiés, au cours d’une concertation qui sera bientôt organisée par les ministères de l’Economie et des Finances.

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vendredi 18 avril 2014

L’Allemand AGCO décroche une convention pour promouvoir la mécanisation agricole au Cameroun

L’Allemand AGCO décroche une convention pour promouvoir la mécanisation agricole au CamerounLe ministre camerounais de l’Agriculture, Essimi Menyé, et le consortium allemand Agriculture Company (AGCO), ont signé le 12 avril 2014 à Yaoundé, une convention pour la mécanisation de l’agriculture. Selon Rabe Yahaya, responsable d’AGCO, grâce à cet accord, le consortium allemand contribuera à l’augmentation de la production agricole au Cameroun, grâce à la mise à disposition de tracteurs de marque Massey Fergusson, ainsi que de moissonneuses-batteuses d’une capacité de 60 tonnes par heure.
Cette convention qui sera principalement implémentée dans la filière maïs, apprend-on, intègre également la mise en place par AGCO d’un centre de formation des jeunes à l’aviculture. «Nous voulons aller de la création du champ de maïs vers la production du produit fini tel que le poulet», a expliqué le Ministre Essimi Menyé. En effet, les filières avicole et maïs sont imbriquées, dans la mesure où le maïs est le principal constituant de la provende (70%), qui est l’aliment des poulets.
Créé en 1990 en Allemagne, le consortium AGCO est devenu un mastodonte du machinisme agricole dans le monde, en prenant des participations ou absorbant et créant des joint-ventures avec des entreprises du même secteur en Amérique et en Europe. AGCO, qui ambitionne également d’aller à l’assaut des marchés des pays émergents de l’Asie, dispose de plusieurs usines de montage à travers le monde, mais surtout d’un réseau de distribution animé par 2600 partenaires indépendants installés dans 140 pays.
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Cameroun : une 3ème usine de transformation de cacao sera opérationnelle à Douala en 2015

Cameroun : une 3ème usine de transformation de cacao sera opérationnelle à Douala en 2015Cocoa Processing Unit (CPU). C’est ainsi que s’appellera la 3ème usine de transformation de fèves de cacao de la ville de Douala, dont les travaux de construction ont été lancés le 12 avril 2014 à Bonabéri, dans la banlieue de la capitale économique du Cameroun, rapporte Commodafrica, citant Reuters. L’usine, d’une capacité de transformation de 16 000 tonnes, apprend-on, sera opérationnelle début 2015, et coûtera 13 milliards de francs Cfa à ses promoteurs.
Outre la poudre de cacao (3 300 tonnes) qui sortira de cette nouvelle usine, CPU ambitionne également de produire chaque année, quelques 6 904 tonnes de produits étiquetés, 6 400 tonnes de liqueurs de cacao et 3 000 tonnes de beurre. Avec l’arrivée de CPU, le Cameroun augmentera ses capacités de transformation de fèves de cacao, qui culminent actuellement à environ 30 000 tonnes, sur une production annuelle estimée à 230 000 tonnes.
Dans la capitale économique du Cameroun, CPU trouve sur le marché de la transformation du cacao à grande échelle, les firmes Sic-Cacaos, filiale locale du suisse Barry Callebaut, et les Chocolateries Confiseries du Cameroun (Chococam), filiale du sud-africain Tiger Brand.
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Plus d’un milliard de FCfa de contrat à gagner à la Cameroon Development Corporation

Plus d’un milliard de FCfa de contrat à gagner à la Cameroon Development CorporationLe gouvernement camerounais vient de lancer un appel d’offre international ouvert, pour la fourniture des équipements au département banane de la Cameroon Development Corporation (CDC), entreprise agro-industrielle publique, qui exploite les bananes, l’hévéa et le palmier à huile dans les régions du Littoral et du Sud-Ouest du pays.
Le marché à passer avec des partenaires intéressés, porte sur un montant global de plus d’un milliard de francs Cfa, et est divisé en trois lots. Le premier lot se rapporte à la fourniture de deux groupes électrogènes de 810 KVA, pour un montant de 288,5 millions de francs Cfa. Le second lot vise la fourniture à la CDC d’un Bulldozer, pour un montant de 450 millions de francs Cfa, tandis que le dernier lot, lui, se rapporte à la fourniture de trois pelles hydrauliques et trois «outils trapézoïdales», pour un montant de 321 millions de francs Cfa.
Les soumissionnaires intéressés par cette offre de contrat du 2ème employeur camerounais, après l’Etat, sont invités à déposer leurs offres au ministère des Marchés publics, au plus tard le 12 juin 2014 à 12 h. Les délais d’exécution de la commande, apprend-on, sont respectivement de 120 jours rendu au port de Douala, et de 130 jours rendu au siège de la CDC à Tiko.
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mercredi 16 avril 2014

Le Nigeria, 1ère puissance économique africaine

Le pays va bientôt doubler l'Afrique du Sud grâce au développement rapide de secteurs comme les télécoms et l'industrie du cinéma.

 
Le président du Nigeria, Goodluck Jonathan.Le Nigeria pourrait être propulsé ce week-end au rang de première économie africaine, devant l'Afrique du Sud, à l'occasion de la publication de la nouvelle estimation de son PIB, calculé selon une nouvelle méthode. Les nouveaux chiffres de l'économie du pays le plus peuplé d'Afrique doivent être dévoilés dimanche par le Bureau national des statistiques. Des statisticiens des Nations unies recommandent aux pays de modifier tous les cinq ans le mode de calcul de leur produit intérieur brut pour prendre en compte les évolutions dans la production et la consommation, mais le Nigeria n'avait pas modifié sa méthode de calcul depuis 1990.
Avec cette nouvelle méthode de calcul, le PIB du Nigeria pourrait grimper de 60 % par rapport à la dernière estimation, qui était de 264 milliards de dollars (contre 384 milliards de dollars pour l'Afrique du Sud, selon la Banque mondiale). Les nouveaux chiffres, qui prendront en compte l'apparition et le développement rapide de nouveaux secteurs et de nouvelles industries, notamment les télécommunications et l'industrie locale du cinéma, Nollywood, donneront aux investisseurs étrangers une vision plus réaliste de l'économie du pays. Mais, selon les experts, ces chiffres ne doivent pas être interprétés comme un signe de développement, l'Afrique du Sud étant largement devant le Nigeria en termes de PIB par habitant, d'infrastructures et de gouvernance.
Si une petite partie de la population est extrêmement riche, selon les chiffres de la Banque mondiale en 2010, 84,5 % des Nigérians vivent avec moins de deux dollars par jour, dans un pays qui manque cruellement d'infrastructures, où tous n'ont pas accès à l'eau potable et où les coupures d'électricité sont quotidiennes. Pour Dawie Rodt, de l'Efficient Group, basé en Afrique du Sud, "en termes d'infrastructures et de systèmes de gestion l'Afrique du Sud reste un géant, loin devant le Nigeria". "Cela ne va rien changer dans la réalité, ce n'est pas comme si tous les salaires allaient doubler", estime quant à lui Chuba Ezekwesili, un économiste du centre de recherche Nigeria Economic Summit. Le changement de méthode de calcul "est plus cosmétique qu'autre chose. Mais nous pensons que cela va augmenter les opportunités d'investissement au Nigeria", a-t-il ajouté.

Nollywood et téléphonie mobile

Le Nigeria, principal producteur et exportateur de pétrole africain, a enregistré de forts taux de croissance ces dernières années, devenant de plus en plus attractif pour les investissements des entreprises étrangères, malgré la corruption rampante, les problèmes de vol de pétrole à grande échelle et l'insurrection islamiste qui sévit dans le Nord. Le taux de croissance annuel a atteint en moyenne 6,8 % entre 2005 et 2013, et les prévisions de croissance pour cette année sont de 7,4 %, selon les chiffres du Fonds monétaire international (FMI). En comparaison, l'Afrique du Sud a connu un taux de croissance légèrement supérieur à 5 % entre 2005 et 2008-9, et peine depuis à dépasser les 3,5 %. Les télécoms et l'industrie du cinéma comptent parmi les secteurs qui ont le plus évolué au Nigeria depuis 1990.
À cette époque, le Nigeria comptait peu de lignes de téléphone fixe, alors qu'aujourd'hui il s'agit du plus important marché de téléphonie mobile d'Afrique, avec environ 167 millions de lignes en service selon la commission nigériane des communications. La très prolifique industrie du film de Nollywood génère quant à elle jusqu'à 590 millions de dollars de chiffre d'affaires annuel, selon Robert Orya, à la tête de la banque nigériane de l'import-export.

"Effet psychologique"

Pour Roelof Horne, de l'Investec Asset Management, la nouvelle méthode de calcul du PIB nigérian va "mieux refléter la réalité africaine" et aura un "effet psychologique" sur la perception du continent africain par les étrangers. Mais pour Pat Utomi, professeur d'économie politique à l'école de commerce de Lagos, ces nouveaux chiffres vont servir les intérêts des décideurs nigérians, alors que "pour l'homme moyen, dans la rue, cela ne veut rien dire". "On devrait s'affairer à transformer l'énorme capital humain disponible dans ce pays en ressources pour aider à réduire la pauvreté et à créer de l'emploi", ajoute-t-il. Pour Jidi Akintunde, le rédacteur en chef du magazine Financial Nigeria, "cela va donner l'impression que le pays est davantage capable d'absorber les investissements directs venus de l'étranger". "Mais le changement de mode de calcul du PIB ne peut pas être une fin en soi (...) Nous devons nous concentrer sur les réformes à mener pour faciliter la création d'entreprises au Nigeria", estime-t-il.
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Une plateforme numérique pour faciliter aux agriculteurs camerounais l’accès au marché

Une plateforme numérique pour  faciliter aux agriculteurs camerounais l’accès au marchéAgribis. C’est le nom de baptême de l’application informatique mise en place par Agrocom, une organisation professionnelle regroupant des producteurs agricoles camerounais, à l’effet de garantir à ses membres un accès efficient au marché, et des prix de vente plus honnêtes. Selon George Ebellé, le Secrétaire exécutif d’Agrocom, cité par le quotidien gouvernemental, «cette plateforme compte déjà plus de 65 000 inscrits et n’attend plus que la signature de la convention avec le ministère de l’Agriculture pour être disponible».
Grâce à Agribis, expliquent les concepteurs, les opérateurs du secteur agricole pourront recevoir, au quotidien et sur demande, des informations précises sur les prix des produits agricoles et des intrants sur 120 marchés ciblés au Cameroun et des marchés de sept pays européens.
Dans le même temps, l’utilisateur de cette plateforme accessible par internet ou par téléphone mobile (Sms), peut poster des offres d’achat et de vente de produits qui seront consultées par de potentiels vendeurs ou acheteurs. Selon Agrocom, une expérience similaire est actuellement conduite au Kenya, avec beaucoup de succès.
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Le Cameroun a investi 9,8 milliards de FCfa dans le projet Agropoles, visant à créer des emplois en zones rurales

Le Cameroun a investi 9,8 milliards de FCfa dans le projet Agropoles, visant à créer des emplois en zones rurales Selon les informations révélées au cours de la dernière session du comité de pilotage du projet Agropoles, qui vient de s’achever à Yaoundé, la capitale camerounaise, depuis le lancement de ce projet en octobre 2012, l’Etat camerounais y a déjà investi 9,8 milliards de francs Cfa.
Cet argent, a-t-on appris, a été injecté dans la mise en place de 16 agropoles de production de poulets (2,9 millions), de porcs (34 800 têtes), de poissons (1 800 tonnes), d’œufs (251 millions), de riz (3 500 tonnes de paddy), de maïs (17 000 tonnes), de soja (8 000 tonnes) et d’ananas (26 000 tonnes).
Cependant, pour poursuivre ses activités, ce projet piloté par le ministère de l’Economie, apprend-on, a encore besoin de financements estimés par le comité de pilotage à 22 milliards de francs Cfa. Pour rappel, le projet Agropoles a pour objectifs, selon le gouvernement camerounais, de réduire les déficits de production dans de nombreuses filières et de favoriser la création des emplois dans les zones rurales du pays.
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mercredi 9 avril 2014

Ceremonie de L'Inauguration de la Campagne Agricole 2014-2015 de GIC-REMOR

Membre du GIC-REMOR responsable des pepinieres de Cafe
Dernierement c'est tenu la ceremonie d'inauguration de la Campagne agricole de GIC-REMOR dans le village Fokoue et les paysans ont recuent des materiaux de travails pour la production de 35 000 plant de Cafe Arabica variete Java. Les plants de production ont ete  distribuee  gratuitement aux Agriculteurs. A suivre sont quelques photos de la campagne agricole. 


Pour vos suggestions ou questions ne manquez et n'hesitez pas de laisser un commentaire et vous serez contacter le plus tot possible. 




Merci de la part de Team GIC-REMOR



 le delegue du GIC au siege avec les membres responsables des pepinieres







 
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